Ma fonction n’est pas de convaincre mais d’exposer.
La véritable recherche implique l’acte vécu.
Explications d’un scientifique de haut niveau :
“Ce qui est en haut et comme ce qui est en bas”, une partie se voit et une autre partie ne se voit pas.
Il y a des atomes et des “métaatomes“.
Il y a des photons et des “métaphotons“.
Le vivant est à cheval entre les 2 mondes, il y a une physique et une métaphysique, un “métamonde“, de même pour les organes “métasensoriels“. Cette “métaréalité” ne sont que des facettes d’une même réalité.
C’est un aspect géométrique, il y a un au-dessus et un au-dessous, qui vont interagir. On parle de “métaénergie” en interaction.
Les mondes parallèles sont un grand mystère. Le seul point commun est l’emplacement, le lieu.
Il existe aussi des mondes perpendiculaires à 90°. Une personne qui décède revoit sa vie à l’envers, exemple, 50 ans de vie défile en quelques secondes.
Le progrès de la science dans la métaphysique passera par la géométrie.
Définition d’un ectoplasme :
Nom donné, par le Français Charles Richet, à une substance semi-fluide, vaporeuse et lumineuse, souvent blanchâtre, pouvant prendre multitude de forme, aussi bien objets que d’un corps humain, d’un visage ou d’une main.
Les énergies ectoplasmiques et empreintes énergiques appartenant à un défunt, peuvent apparaître n’importe où, mais sont souvent localisés près d’un individu, comme si un lien existait entre la personne vivante et l’entité. (Référence : Magazine “Monde Inconnu”)
![]() Photo d’une entité prise par Lexa Marau |
Les scientifiques ont prouvé l’existence des mondes parallèles :
8.10.2012, 21:20, heure de Moscou
![]() Institut de Russie |
Une équipe de scientifiques de l’Université d’Oxford a prouvé que les mondes parallèles existent.
La théorie de ces mondes est apparue en 1950. Hugh Everett a proposé que chaque nouvel événement dans l’univers, peut-être, provoque sa séparation. Ainsi, le nombre d’univers alternatifs tend vers l’infini. La théorie avait été reconnue comme tenant du fantastique et oubliée. Cependant, à l’université d’Oxford l’équipe a conclu que Everett était sur la bonne voie.
Les calculs montrent que les structures arborescentes en formes de buissons, qui se forment au cours de la désagrégation de l’univers en versions parallèles de lui-même, expliquent les résultats de la nature probable de la mécanique quantique. Les scientifiques affirment qu’il est inévitable que nous vivons dans l’un de ces nombreux mondes parallèles, et non pas dans un monde unique. /L Source : Les voix de la Russie.