You are currently viewing Rennes le Château aux portes de l’enfer – Première partie (1)

De tout temps, les trésors ont hanté l’imagination des gens. Qui n’a pas rêvé de partir à la chasse aux trésors ? Ce n’est pas moi qui, le premier, leur jetterai la pierre ! Celui qui trouve un trésor est généralement assuré qu’il lui apportera l’argent, sinon la gloire (ou les deux), ce qui n’est pas pour déplaire à son ou ses inventeurs.

Cependant, il est des trésors défendus par d’invisibles gardes, aux risques et périls du découvreur, sauf dans certains cas ou d’éventuels pactes peuvent être faits. Quoiqu’il en soit, dans ces cas là, la facture est généralement très élevée. L’histoire fourmille d’exemples célèbres, tel le trésor de Tout Ank Amon où, malgré les coïncidences, le mystère reste entier.

C’est l’histoire de l’un de ces trésors que je vais vous raconter. Je n’ai pas la prétention de tout savoir, mais… certaines choses m’ont amené à penser que ce trésor, bien que déjà découvert, reste à redécouvrir… Qui n’a pas entendu parler du trésor de Rennes le Château que l’abbé Saunière avait trouvé à la suite d’un concours de circonstances ?

Comme toute bonne histoire, elle ne peut commencer que d’une seule façon : il était un fois une charmante petite cité médiévale du nom de Mirepoix, avec ses rues tranquilles et sa superbe cathédrale où abondent de formidables Énergies cosmo-tellurico-spirituelles, qui en font un lieu où il fait bon vivre. Quand vous êtes sur la grand’ place, entourée de ses magnifiques maisons aux murs épais et aux poutres multiséculaires, où les arcades se mêlent aux enseignes qui semblent sortir d’un autre âge, vous avez la sensation, pour reprendre l’expression de notre ami François, de vivre hors du temps ! Avec un minimum d’imagination, nous aurions pu voir arriver Athos, Porthos, Aramis et d’Artagnan et les entendre s’écrier, du haut de leurs fiers destriers : “Un pour tous, tous pour un !”.

Avec mes amis Nicole, Chantal, Francis, Patrice et François, nous avons pu mener nos propres recherches sur le terrain, et cela grâce au voyage organisé par l’ IMSA en Juin 1992. Je profite de l’occasion pour féliciter les organisateurs qui avaient prévu Mirepoix comme point de chute : ils ne pouvaient faire un meilleur choix, (avec un petit regret quand même d’être passés si près de Roquefort sans nous y arrêter, nous aurions pu humer le parfum de cet excellent fromage ! Que voulez-vous ? La nourriture de l’esprit passe parfois aussi par celle du corps ! Et il est bien connu que la chair est faible…)

C’est donc avec un certain regret qu’au matin du dernier jour, nous avons dû quitter Mirepoix, son marché paysan où nous nous régalions d’entendre ce si charmant accent du Sud-ouest qui chantait à nos oreilles ! (En bon provençal chauvin que je suis, je dirais qu’il est presque aussi joli que le nôôôôtre !!)

Nous sommes donc partis et avons mis le cap sur Rennes le Château, pensant tous les six nous régaler et tester les puissantes énergies devant inévitablement émaner de ce lieu extraordinaire… Nous ne savions pas qu’une surprise nous y attendait de pied ferme…

De prime abord, Rennes le Château avait l’air d’un de ces jolis villages tranquilles que nous rencontrons dans le Sud-ouest,  sur son promontoire rocheux, il semble dominer – ou surveiller ? les vallées environnantes.

Une fois descendus du car, nous sommes tous partis à l’assaut du village, comme de braves touristes que nous étions. Jimmy Guieu nous a d’abord présenté celui qui allait nous servir de guide, et là, à la surprise générale, le guide avait le profil exact du malin qui, à l’entrée de la chapelle, supporte le bénitier ! Sur le moment, cette ÉTRANGE coïncidence nous a tous fait sourire, mais, une fois arrivés devant ladite chapelle, nous avons été accueillis par cette surprenante inscription au fronton de la porte :
“TERRIBILIS EST LOCUS ISTE” (ce lieu est terrible). Vous conviendrez que cette inscription est peu banale pour un lieu sacré, à moins que…

Sur ce, nous avons laissé le groupe suivre assidûment les explications du guide et, tous les six, nous nous sommes mis en réceptivité et avons commencé à tester le lieu : et là, nous allions de surprise en surprise : un malaise grandissant, profond, nous envahissait. Nous avions l’impression de vide sous nos pas. Comme si le sous sol était truffé de galeries. Après avoir testé les jardins et le cimetière, nous sommes entrés dans la chapelle qui s’était vidée du groupe, en réceptivité maximum, sans parler, (peut être par respect du lieu ou de ce que nous ressentions?) Nous avons fait un tour rapide du site et avons décidé de ressortir très vite : nous avions l’impression que la chapelle nous repoussait : nous ne nous sentions pas chez nous…

Et là, au moment de sortir, Nicole s’arrête net devant moi, et blêmit. En entrant, elle n’avait pas vu qui soutenait le bénitier, et dit en sortant précipitamment : “Tu as vu qui tient le bénitier ?” A cela, étonné, je lui réponds : “Tu ne le savais pas ? Tu ne l’avais pas vu en entrant ?” Elle répondit que non et surenchérit en disant : “Je comprends maintenant pourquoi je me suis sentie aussi mal en entrant ! J’avais l’impression que quelqu’un m’épiait dans le dos : cela m’a glacée !” ÉTRANGE ! A ce moment, je me rends compte en demandant à chacun de nous que pas un ne s’est signé en entrant… ÉTRANGE. Personnellement, en entrant dans une église, je me signe toujours. Cette fois, c’est comme si une force m’avait fait oublier ce réflexe naturel, comme pour me protéger d’une souillure… ÉTRANGE. De plus, en entrant, j’ai voulu photographier le bénitier avec qui vous savez : j’ai essayé à plusieurs reprises mais ai dû abandonner, comme si quelque chose m’empêchait de le faire ! ÉTRANGE…

Autre détail curieux remarqué quand le groupe écoutait le guide dans la chapelle, juste avant que nous sortions tous les six tester les alentours : la plupart des personnes se croisaient les bras sur la poitrine, ou les mains : il se trouve que ce geste est une forme instinctive de repli sur soi pour se protéger et éviter de perdre sa vitalité. En outre, plusieurs personnes m’ont confié plus tard avoir ressenti un malaise profond dans la chapelle, mais aussi un peu partout dans le village… et qu’elles n’avaient qu’une hâte, c’était de rentrer au car sitôt les explications du guide terminées. ÉTRANGE encore une fois.

Enfin, après avoir abandonné nos recherches, nous avons décidé de regagner le car, et, sur le chemin du retour, nous avons rencontré des personnes du groupe qui avaient elles aussi décidé d’abandonner le guide et de sortir du village, sans vraiment comprendre leur décision. Vous avez dit ÉTRANGE ? Nous formions déjà un groupe important quand nous nous sommes arrêtés devant la librairie ésotérique du village. Nous pensions acheter quelque livre intéressant : moi-même, j’en ai vu trois qui m’intéressaient, mais, sans m’expliquer pourquoi, j’ai dû les remettre en place.

Quelle force nous a “obligés” à ne rien acheter, comme si elle devait nous éviter de ramener quelque mauvais “souvenir” de cet ÉTRANGE village ??

Une des personnes présentes avait cependant acheté des souvenirs et, nous entendant parler des anomalies que nous avions constatées, nous a demandé de les tester. Chacun d’eux portait en lui une charge négative importante. Il est à noter qu’en parlant un peu avec les gens du village, nous avons pu noter que le village était en dispute continuelle avec la librairie… Pourquoi ? Comment ? ÉTRANGE que tout cela…

A notre arrivée au car, heureusement stationné en dehors du village, nous avons constaté qu’un tiers du groupe était finalement redescendu ; tous avaient plus ou moins ressenti les mêmes phénomènes, à des degrés divers.

Longtemps après, au retour du reste du groupe, nous avons voulu poser des questions “à chaud”, en évitant de dire les raisons qui ont poussé les autres à partir : certains étaient pressés de rentrer, d’autres n’ont rien trouvé d’anormal et d’autres, plus rares, ont trouvé le lieu très bien.

En étudiant les détails bizarres que nous avons notés, nous avons de quoi être surpris :

l/ L’inscription du fronton de la chapelle (ce lieu est terrible). Pour qui est-ce ? Pour le malin, ou pour le fidèle qui pense se trouver en sécurité en ce lieu ?

2/ Le faune soutenant le bénitier, et semblant être écrasé par le bénitier ; par cette astuce démoniaque, il se trouve caché derrière la porte d’entrée, et de ce fait dans notre dos, là où on ne l’attend pas… De plus, il soutient, on l’a vu, le bénitier, qui contient l’eau sacrée des fidèles : ceux-ci s’en trouvent souillés et non protégés en s’en signant. Sans le savoir, ils tombent déjà sous sa coupe…

Cette influence ne touchera pas les personnes protégées ou puissantes, (spirituellement évoluées). Par contre, les personnes faibles, matérialistes ou négatives (émettant des formes pensées négatives) sont autant de proies idéales : cela aura pour effet de diminuer leur niveau vibratoire et, si à ce moment une personne sort d’une épreuve qui l’a affaiblie physiquement et moralement, (accident, maladie, divorce…), elle pourrait ne pas pouvoir résister à une telle charge.

3/ Autre fait curieux, pendant le voyage de retour : une atmosphère très lourde avait envahi le car : nous imaginons sans peine les charges importantes que chacun avait ramenées de Rennes le Château. J’ai demandé à mes cinq amis de m’aider à dégager le car de cette nocivité ambiante : aucun n’a pu m’aider ! Ils étaient littéralement “vidés” et dormaient comme des bienheureux… J’ai dû travailler seul, et ils se sont réveillés dès la fin du travail.

4/ Enfin, et sans que je puisse l’expliquer, nous avons remarqué que la moitié arrière du car dormait profondément, alors que les passagers avant étaient parfaitement éveillés (chauffeur compris, heureusement…) Pourquoi ?

5/ Voici à présent les détails sur la mort de l’abbé Saunière (voir pour plus de précisions l’ouvrage de Mickaël Baigent et Ri­chard Leigh : ‘L’ENIGME SACREE).

   –  * Il   a le 17 Janvier une attaque qui surprend tout le monde : le 12, ses paroissiens l’avaient trouvé en bonne santé.  Or   ce même jour, sa servante et confidente   Marie,  commande un cercueil pour son Maître. Savait-elle que son heure était arrivée ?

   – * Un prêtre de la paroisse voisine est dépêché pour prendre sa dernière confession et lui administrer l’extrême onction.  Il s’enferme   avec   Saunière pour ressortir peu après, le visage décomposé.   Un témoin affirmera plus tard qu’on ne l’a plus jamais vu sourire : un autre déclara qu’il serait tombé en dépression. Même si ces récits sont exagérés, ils démontrent que ce qu’avait pu dire  l’abbé  Saunière était très grave…

6l Lors du 2ème Congrès International de l’Ufologie qui s’est tenu à Marseille fin septembre, j’ai pu discuter avec une équipe qui a tourné un film sur Rennes le Château : leur intention était de filmer seulement le lieu sans s’intéresser au côté paranormal. Ils ont vu et entendu des choses qu’ils ont préféré taire tant cela les avait effrayés.

7l  Intrigué par tout cela, j’ai voulu en savoir un peu plus et, le 14 Juin (6 jours après notre voyage à Rennes le Château), je rencontrais Guy Tarade, lui ai fait part de nos recherches, de nos conclusions. Voici textuellement ce qu’il m’a répondu :  “Rennes le Château, c’est l’antre de la Bête”..

Le Malin est-il chez lui à Rennes le Château ? A-t-il établi une des portes de l’Enfer là bas ?

Gilbert Attard.

Article paru dans IMSA-Contact n° 43 en 1993 –
(IMSA : Institut Mondial des Sciences Avancées – Président fondateur : J. Guieu)

 

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Démon situé sous le bénitier derrière la porte de l’église de Rennes le château

 

 

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