You are currently viewing Rapport d’OVNI à Saint Geniez le 15 août 1994


 Rapport d’Observation d’ OVNI  le 15 août 1994 à  Saint-Géniez

 

Lieu : Saint-Géniez (Alpes de Haute Provence)

Situation : Face au Dromon

Heure : 02:15 (légales)

Météo : bonne, ciel découvert, température 12 °, vent NNO Force 2-3

Lune : 1er quartier

Visibilité : Bonne 50 à 60 km

Nombre de témoins : 5 (Bernard, Lucette, Yann, Louis E. et  Gilbert Attard)

 


 

 

RAPPORT

 

Vers 2 heures 10, venant d’une direction NORD-SUD, est apparu un engin lumineux d’une élévation apparente par rapport à l’horizon local de 10°. Cet engin est venu de derrière le massif des Échelles. Sa vitesse apparente : 300 km/h, sa taille estimée : 60m. Sa distance : 1500m.

L’engin a suivi sa direction pendant 4 minutes (à la jumelle hublots visibles) puis a bifurqué vers l’Ouest en accélérant en passant dans un petit nuage.

A ce moment-la les deux feux clignotants internes sont apparus : feux très puissants car observés jusqu’à la fin du phénomène (10′, 100km) Ces feux étaient oranges puis verts puis rouges. Séquence O O R V O OR V VRO V V O O etc…

Arrivé au “sommet du Dromon” (situation approximative de l’azimut) reprise de l’axe N-S avec encore une accélération.

Il m’a semblé que juste avant sa disparition (observation aux jumelles) l’objet se soit scindé en deux parties.

Louis E.

dentelle7-300x77

 


Des Terriens au  rendez-vous des OVNI

 

Je ne peux décrire l’observation faite le lundi matin 15 Août 1994 à 2 heurs 10 sans faire un petit retour en arrière.

La journée s’était déroulée, telle un de ses bons films qu’on savoure jusqu’à la fin ; les commentaires de notre ami Roger C. (Dardanus  pour les intimes) doublés par ceux de Jean M. et de moi-même ont passionné tous les participants.

Le soir venu, après un rapide souper, nous partons tous sur ce qui va être le théâtre des opérations : le site choisi par Roger était tout simplement fabuleux : nous avions une vue totale surplombant le Dromon et Théopo­lis, allant au Sud jusqu’au Mées et plus loin encore. Un plateau servait de parking, surplombant une pente plus ou moins raide menant à un faux plat encombré de quelques grosses pierres.

François B. monte son télescope, j’en fais de même avec ma lunette astronomique tout en pestant sur les nuages qui masquaient fréquemment la Lune et les étoiles…

Il est 22 heures. Nous descendons nous installer sur le faux-plat, face au Sud, et l’attente commence. Vers 22 heures 30, Claudie  propose aux volontaires de faire une chaîne dans le but de nous harmoniser avec les lieux et énergétiser la Terre. Un peu plus tard, Jean M. (responsable de la commission U.F.O.) propose de faire un travail collectif sur les sons énergétiques. Ces différents travaux de groupe ont eu pour effet de changer l’atmosphère, de calmer les esprits et d’accorder tout le monde sur l’énergie du lieu.

Il est à présent 23 heures 55. Jean M., soucieux de ne pas laisser les gens se laisser aller à une douce torpeur au fond de leur duvet, demande à tous les sensitifs plus ou moins doués de faire une réunion : il s’agit de se mettre en état de réceptivité totale et de confronter les impressions et les messages reçus : il s’avère que quelque chose se prépare vers une heure du matin… A nouveau la longue attente reprend.

Il est bientôt une heure ; une excitation intense monte en moi (comme ce fut le cas le 12 juin au plateau d’Albion, juste avant l’observation que nous avons faite pendant 1 heure 30). Je fais le tour des différents “channels” ; mêmes réflexions : “quelque chose approche”. Nous sommes tous sur le qui vive. Je rejoins le groupe en avant poste : il est une heure moins cinq…

Un brusque et surprenant vent chaud nous balaye, (semblable à celui que nous avions curieusement ressenti 5 mois plus tôt en face du Rocher du Dromon, juste avant l’apparition de phénomènes lumineux inexpliqués) mais rien ne se passe encore…

Vers 1 heure 15 cependant, Solange, l’épouse de Roger C., nous apprend qu’elle a vu deux ou trois boules lumineuses. Je décide de plier bagages et de quitter le camp de base plus confortable mais au champ de vision insuffisant pour rejoindre Solange sur la parking. Elle aussi a vu une boule rouge en face (vers le Sud) et deux autres aux extrémités. D’en bas, nous n’avions rien pu voir… De plus, Christophe et Yann,  me disent avoir vu également une boule lumineuse différente de celles de Solange en direction du Nord.

Nous ressentons intérieurement que “ce n’est pas fini”. Christophe ajoute qu'”ils font cela pour tester notre détermination”, ce à quoi j’adhère totalement. Nous décidons de rester, alors qu’une bonne partie des observateurs du camp de base remonte et rentre aux gîtes. Il est tout de même une heure 45. Restent 5 personnes sur le parking (Bernard, Christophe, Lucette, Yann et moi) et une douzaine en bas sur le faux-plat…

Nous sommes reliés par C.B. bien entendu, et l’attente reprend. Le ciel, assez bouché en début de soirée s’est éclairci et les étoiles scintillent. La voie lactée est superbe. L’attente est cette fois-ci de courte durée, comme pour nous récompenser d’avoir persévéré :

Christophe lance soudain : “Ça y est, en voila un !” en montrant le Nord derrière nous. En effet, nous voyons tous les cinq un objet allongé très lumineux de couleur jaune et décrivant une trajectoire Nord-Sud. Son allure est modérée ce qui nous donne tout le temps de l’observer aux jumelles notamment. Des “hublots” sont même visibles.

Bernard, comme convenu avec le groupe du faux-plat, lance des signaux avec sa puissante lampe frontale : pas de réponse… Seuls des rires nous parviennent nous laissant supposer que la vigilance de nos veilleurs s’est quelque peu émoussée… Sans attendre d’avantage, je lance par ma C.B. portative de furieux appels, toujours sans réponse. A son tour, Christophe lance des appels de phares de son 4×4 sans plus de succès ! Rageant de ne pouvoir faire partager ce que nous avions la chance de voir, je hurle si bien (au risque d’y laisser mes dernières cordes vocales, celles-ci ayant été fortement sollicitées au cours des deux jours précédents ) qu’ils finissent par m’entendre enfin ï

Entre temps, l’ OVNI (c’est en effet un objet réel volant dont l’apparence est celle d’un long cigare, silencieux, dont la trajectoire variable ne suit pas celle des dizaines d’avions observés depuis plus de quatre heures, le “couloir” aérien se trouvant très à l’ouest, au dessus du Rhône, et que nous ne pouvons pour l’instant identifier !). L’ OVNI, donc, a disparu dans un nuage et réapparaît quelques instants plus tard. Nouvelle direction perpendiculaire à la première : Ouest-Est ; toujours sans faire de bruit, il augmente sa vitesse mais il nous est difficile d’évaluer sa distance et, par suite, ses dimensions. Sa structure par contre avait semble-t-il changé : il était devenu sphérique !

Après une minute de vol environ, nouveau changement de cap : il a, viré vers le Sud-est et s’est mis soudainement à clignoter ! Christophe et Bernard l’ont suivi aux jumelles quelques instants. L’observation a duré en tout environ 15 minutes. Pour moi, il ne s’agit pas d’un avion (changements de cap, pas de bruit dans le silence total de la nuit, clignotements sur l’arrière de l’objet, etc…).

 

J’AI BIEN VU UN OVNI LE 15 AOUT 1994.

Après cette observation, deux autres ont été faites vers 3 heures du matin, mais je ne m’étendrai pas sur celles-là, je crains qu’elles n’aient été plus subjectives qu’objectives.

Par contre, une autre observation dont j’ai oublié de parler, curieuse et inexplicable, a été faite par tout le monde vers 23 heures. Nous avons tous vu (direction Sud-Sud-est) comme un nuage noir de forme allongée, aux bords nets, duquel partait dans sa partie supérieure comme un rayon de lumière blafarde orienté vers la droite (vers l’Ouest). Il s’est déplacé très lentement vers l’Est (le vent cette nuit-là venait du Nord-Nord-Ouest) pendant un bon quart d’heure, au cours duquel le rayon s’est aussi déplacé d’Ouest en Est, si bien qu’avant de disparaître, le “rayon” était orienté vers notre gauche (donc vers l’Est !)

Observation très curieuse n’est-ce pas.. Ce “nuage” noir aux contours si réguliers n’a subi aucune altération au cours de l’observation ; et ce fameux “rayon” éclairant le ciel en gros à 60° de part et d’autre de la verticale !??

Quoi qu’il en soit, cette veillée, la deuxième du titre pour l’ IMSA, a été une pleine réussite. Elle a dû donner bien des regrets à tous ceux qui ont quitté trop tôt le site d’observation…

 

VEILLER OU DORMIR, IL FAUT CHOISIR !

Il semble que notre méthode de travail soit au point, alliant parapsychologie (utilisation des facultés “psy”, médiums, sensitifs…) et connaissance du terrain : rappelons pour mémoire :

  • Observation sur le Plateau d’Albion d’un long cylindre (estimation de la longueur : 1000 mètres !)
  • Observation de cette nuit à Théopolis.
  • Bientôt, nous aurons la veillée du camp de Canjuers ; quelles surprises nous réserve-t­-elle ??

 

Gilbert Attard.
Article paru dans IMSA-Contact n° 54 en 1995 –
(IMSA : Institut Mondial des Sciences Avancées – Président fondateur : J. Guieu)

 

Laisser un commentaire